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En tête-à-tête Émilie Pierson & Jeanne Mathas

En tête-à-tête Émilie Pierson & Jeanne Mathas

Le jeudi 28 mars 2024 à 18:30
RENCONTRE

À l’occasion de l’exposition Vidéo Club le FRAC vous invite à un échange entre l’artiste Émilie Pierson et Jeanne Mathas, commissaire d’exposition, critique d’art et chercheuse indépendante.

En tête-à-tête avec Émilie Pierson & Jeanne Mathas
Jeudi 28 mars à 18h30

Émilie Pierson

Née d’une mère bulgare et d’un père français, Émilie Pierson questionne l’identité et l’héritage bulgare.
À travers les images, objets, sculptures et récits, elle s’intéresse aux rituels et traditions, au passé politique communiste, à la culture populaire et à la religion orthodoxe. Elle observe leurs traces, mutations et cohabitations dans notre société contemporaine. Elle opère des allers-retours entre le passé et le présent, entre l’histoire intime et collective, entre la France et la Bulgarie. Émilie Pierson vit et travaille à Metz. Elle représente sa ville pour le Prix d’Art Robert Schuman 2020 au Cercle Cité au Luxembourg. La même année, elle est sélectionnée pour la 69e édition Jeune Création. En juin 2020, le Frac Lorraine l’invite pour une résidence digitale, Et Maintenant. En mars 2021, elle réalise une oeuvre pour l’exposition Effet immédiat au Castel Coucou de Forbach. En 2023, elle devient artiste émergente de Bliida.

Jeanne Mathas

Jeanne Mathas est historienne de l’art spécialisée en Art du XXe siècle et Art contemporain. Elle sort diplômée de l’École du Louvre, après un échange à la Columbia University in the City of New York. En 2022, elle obtient un MBA international en management culturel. Son dernier mémoire de recherche portait sur la parité dans les acquisitions de FRAC entre 2009 et 2022. Elle est aujourd’hui critique d’art et commissaire d’exposition indépendante. Ses recherches portent, entre autres, sur le dépassement de l’essentialisme dans l’art écoféministe américain. Elle s’intéresse également à la permanence des formes, à la superposition des couches de l’histoire, aux analogies ainsi qu’aux conséquences du refus chez les travailleur·euses de l’art. Elle est la co-fondatrice de l’association Nous sommes au regret.